Caractéristiques de l’installation
Intervenant(s)
Schlieren
Installation
Date de mise en service
Statut juridique
Reconnaissance de la valeur historique le 26 janvier 2023
Ascenseur principal ou de service
Énergie
Numéro de série
Nombre d'arrêts
Charge nominale (kg)
Nombre de personnes
Vitesse (m/s)
Type de gaine
Parois de la gaine
Portes palières
élément(s) ancien(s)
Guides
Emplacement du contrepoids
Boutons d'appel
Plaques signalétiques
Anciennes marques de fabrique
La cabine
Forme de la cabine
Matériaux de la cabine
Porte cabine
Boîte à boutons de commande
Plaques signalétiques
Anciennes marques de fabrique
Éclairage
Accessoires de la cabine
Machinerie
Emplacement de la machinerie
Treuil
Tableau de commande
Sélection d'étages
Limiteur de vitesse
Métadonnées
Date de rédaction de la fiche
Auteur de la fiche
id
Description
Immeuble à appartements de six niveaux sous toit plat construit en 1955 d’après les plans de l’architecte Gaston Heerebout sur la parcelle à l’angle de l’avenue Broustin et de la rue Vanderborght. Les deux façades s’articulent à l’angle par une travée biaiseTravée d’angle, située de biais, généralement à quarante-cinq degrés, par rapport au reste de l’élévation.. L’entrée ouvre sur un vestibule revêtu de marbres, donnant sur la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier. au sol en granitoMatériau composé de mortier et de pierres colorées concassées présentant, après polissage, l’aspect d’un granit.. L'ascenseur, de marque Schlieren, présente de nombreuses similitudes avec celui installé à la même époque dans l’immeuble rue Mercelis 58. Décalé sur la gauche par rapport à l’axe d’entrée, il circule au centre de l’escalier en granitoMatériau composé de mortier et de pierres colorées concassées présentant, après polissage, l’aspect d’un granit., en gaineEspace dans lequel se déplacent la cabine et/ou le contrepoids, délimité par les parois, le plafond et le fond de la cuvette. La gaine peut être fermée ou partiellement ouverte. partiellement ouverte. Le garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... de celle-ci est d’une composition standard en treillis métallique. De la tôle métallique et, au-dessus des portes palières, du verre armé ferment la face avant sur toute sa hauteur, afin de former une face lisse. La vitre au-dessus de la porte palièreSituée à chaque palier, porte donnant accès à la cabine. du rez-de-chaussée ne couvre qu'une mince ouverture rectangulaire, la hauteur à ce niveau étant plus petite qu'aux étages. Les portes palières battantes en bois sont dotées d’un regard de forme oblongue en verre imprimé.
La cabine en bois est de facture simple. Elle est dotée sur sa partie supérieure d’orifices de ventilation de forme ronde, visibles sur les parois extérieures. Ses accessoires d’origine ont disparu mais l'ancien éclairage intégré au plafond est conservé.
La machinerieSitué dans un espace en partie basse ou en partie haute de l’installation, ensemble comprenant le système d’entraînement et les équipements de commande de l’ascenseur. est encore constituée de certains de ses éléments anciens,
probablement d’origine : treuilAccouplé au moteur, dispositif mécanique qui entraîne les câbles de la cabine et du contrepoids sur un tambour ou une poulie d’adhérence. , moteurMoteur actionnant le treuil de l’ascenseur., servomoteur, freinDispositif placé sur l’axe du moteur qui le freine et le
maintient à l’arrêt grâce à deux mâchoires se fermant sur un tambour. Par
défaut, le frein est en position fermée. Son ouverture est déclenchée par
l’intermédiaire d’une bobine ou d’un servomoteur. , poulieRoue dont la jante porte un ou plusieurs câbles afin de permettre la transmission d’un mouvement. Fixée sur l’axe du treuil, la poulie de traction (ou poulie d’adhérence) communique la force du moteur aux câbles de traction de la cabine et du contrepoids. La poulie de déflexion permet de déporter les câbles dans l’axe de la gaine de l’ascenseur et/ou du contrepoids. Les poulies de renvoi situées au-dessus de la gaine supportent les câbles de traction quand la machinerie est placée en bas. d’adhérence.
Représentatif de la production standardisée
des années 1950, intégrant déjà une face lisse, cet ascenseur présente un intérêt historique et technique.