Caractéristiques de l’installation
Intervenant(s)
Otis
Schindler
Installation
Date de mise en service
Statut juridique
Reconnaissance de la valeur historique le 03 octobre 2024
Ascenseur principal ou de service
Énergie
Numéro de série
Nombre d'arrêts
Charge nominale (kg)
Nombre de personnes
Vitesse (m/s)
Type de gaine
Parois de la gaine
Portes palières
élément(s) ancien(s)
Guides
Emplacement du contrepoids
Boutons d'appel
Plaques signalétiques
Anciennes marques de fabrique
La cabine
Forme de la cabine
Matériaux de la cabine
Porte cabine
Boîte à boutons de commande
Plaques signalétiques
Anciennes marques de fabrique
Éclairage
Accessoires de la cabine
Machinerie
Emplacement de la machinerie
Treuil
Tableau de commande
Sélection d'étages
Métadonnées
Date de rédaction de la fiche
Auteur de la fiche
id
Description
Construit vers 1935, immeuble à appartements de six niveaux dont chacun est desservi dès l’origine par l’ascenseur probablement installé par la firme Otis. Positionné dans l’axe de l’entrée, derrière l’arcade qui sépare le vestibule du hall, il circule au centre de l’escalier en bois dans une gaineEspace dans lequel se déplacent la cabine et/ou le contrepoids, délimité par les parois, le plafond et le fond de la cuvette. La gaine peut être fermée ou partiellement ouverte. en partie ouverte. Celle-ci est formée par le garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... paroi en bois plein de l’escalier, surmonté de panneaux de treillis standards, enserrés dans des cadres en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. Les portes palières sont des grilles rétractiles en métal. D’une exécution simple, la cabine en bois est dotée de deux petites vitres rectangulaires en verre imprimé en partie supérieure des parois latérales et d'une plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite. en tôle martelée. Elle a conservé sa grille rétractileSystème de fermeture, constitué de montants réunis par des croisillons mobiles, qui se replie et se déplie sur lui-même entre un rail supérieur et un rail inférieur. ancienne en métal. Les boutons de commande, tout comme les boutons d’appel aux paliers, les plaques signalétiques et marque de fabriqueGraphisme destiné à identifier une firme. Il peut prendre la forme d’une plaquette, d’un lettrage en relief... ont été remplacés. Les éléments techniques, tels que l’étrier de la cabine, les guidesRails verticaux en métal et parfois en bois, fixés sur toute la hauteur de la gaine, le long desquels circule la cabine ou le contrepoids. Des câbles peuvent être utilisés comme guides pour le contrepoids. ronds en métal, la poulie de déflexion dans la salle des machines apparentent l’ascenseur à ceux de la firme Otis à la même époque. La machinerieSitué dans un espace en partie basse ou en partie haute de l’installation, ensemble comprenant le système d’entraînement et les équipements de commande de l’ascenseur. quant à elle, composée majoritairement d’éléments Schindler (moteur, treuilAccouplé au moteur, dispositif mécanique qui entraîne les câbles de la cabine et du contrepoids sur un tambour ou une poulie d’adhérence. , poulieRoue dont la jante porte un ou plusieurs câbles afin de permettre la transmission d’un mouvement. Fixée sur l’axe du treuil, la poulie de traction (ou poulie d’adhérence) communique la force du moteur aux câbles de traction de la cabine et du contrepoids. La poulie de déflexion permet de déporter les câbles dans l’axe de la gaine de l’ascenseur et/ou du contrepoids. Les poulies de renvoi situées au-dessus de la gaine supportent les câbles de traction quand la machinerie est placée en bas. d’adhérence, frein, servo-frein), témoignent d’une modernisation ancienne (années 1950 ?). Ils confèrent à l’ascenseur un intérêt technique en plus son intérêt historique.